Livre

Oeuvres de Fenimore Cooper. Tome onzième, Le bravo / Fenimore Cooper

Cooper, James Fenimore (1789-1851). Auteur

Edité par Furne. Paris ; C. Gosselin ; Perrotin - 1837

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  • Coup de coeur 5/5

    James Fenimore Cooper s’inspira d’un voyage en Europe, et plus particulièrement en Italie lorsqu’il publia Le Bravo en 1831. Celui-ci fait partie d’un groupe qu’un critique littéraire nommera la Trilogie européenne. Outre Le Bravo, ladite trilogie comprend également Heidenmauer et The Headsman. Lors de son séjour à Venise, Fenimore Cooper fut fasciné par l’architecture de la ville. Il s’en inspira lors de l’écriture de son roman. Le roman fut également adapté au théâtre par Auguste Anicet-Bourgeois sous le titre de La vénitienne. Saverio Mercandante, quant à lui, s’inspira de la pièce d’Anicet-Bourgeois pour composer son opéra Il Bravo dont la première eu lieu en 1839, au théâtre de la Scala de Milan. Tout au long du récit, on remarquera une alternance entre l’obscurité et la lumière. Peut-être dû à la main mise du gouvernement vénitien sur le peuple ainsi qu’à un climat délétère, suspicieux et de peur envers ses concitoyens. Une certaine hypocrisie est également présente. C’est à celui qui va mentir, tromper, manipuler l’autre afin de mieux assoir son prestige, son autorité et surtout servir ses intérêts. Cet état d’esprit est surtout valable au sein de l’élite sociale dans laquelle le doge est choisi. Ce dernier n’étant qu’un pion au milieu des divers institutions gouvernementales vénitiennes. Malgré cette atmosphère sombre, parfois glauque, une lumière s’allume grâce à l’amour entre deux jeunes et leurs fuites après moults péripéties vers les états pontificaux afin de vivre sereinement, sans la peur au ventre. En ce qui me concerne, Le Bravo fut une véritable découverte pour moi. En effet, j’ignorais totalement que Fenimore Cooper écrivit un roman se déroulant entièrement à Venise. A la décharge de l’auteur, Le Bravo ne connut aucun succès lors de sa publication en 1831. Il n’est dont pas passé à la postérité et reste donc méconnu du grand public si l’on ne tombe pas dessus par hasard, sauf peut-être des bibliophiles. Sinon, je préfère nettement le présent titre au Dernier des Mohicans, peut-être dû à sa situation géographique (l’Italie et Venise) plus proche de nous que l’Amérique.

    DAGUENET Marianne, Bibliothécaire - Le 22 octobre 2024 à 10:20