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Jordaens, le dernier nabab de la peinture flamande / Thomas Schlesser
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Au contraire de ses illustres contemporains Rubens et Van Dyck, qui traversèrent l'Europe de cour en cour, Jacob Jordaens (1593-1678) choisit de rester à Anvers, cité florissante et décadente, dont il fit son royaume. Le Petit Palais lui offre aujourd'hui sa première grande rétrospective en France. Retour sur une gloire oubliée.
Voir le numéro de la revue «Beaux-arts magazine, 351, 01/09/2013»
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