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Nuit d’Avril 1915
Le ciel est étoilé par les obus des boches, La forêt merveilleuse où je vis donne un bal, La mitrailleuse joue un air à triples croches Mais avez—vous le mot? eh! oui, le mot fatal : « Aux créneaux, aux créneaux! laissez—là les pioches! »
Voir la revue Les nouvelles de Verdun, 9 - février 1916, 01/02/1916